Pratiquement toute la nourriture est industrielle (pizza, burger, hotdog, sandwich, boissons glacées sucrées…), les habitudes alimentaires sont DEBILES : ils peuvent faire du footing comme des mongols en plein cagnard, ça les empêchera pas d’être gras puisqu’ils ne CUISINENT pratiquement pas (appart trop petits, et puis ca coûte aussi cher, voir plus, que d’acheter dans la rue à n’importe quelle heure)

« Continuer à qualifier l’OPEP de « cartel » permet de maintenir dans l’esprit des gens que s’il n’y a plus assez de pétrole, c’est « la faute de l’autre » (volonté politique plutôt que contrainte géophysique). »

Des famines, des guerres, des coups d’Etat, des colonisations, des révolutions, des crises sociales, des krachs financiers, des récessions, etc. on en a connu un paquet depuis 2 siècles (avant déjà bien sûr) et on doit admettre que cela ressemble au régime normal de l’humanité, malgré l’idéal contraire de stabilité dans la paix, la prospérité et la prévisibilité. La pétrole, plus largement le fossile, plus largement encore l’énergie apportent-ils un ingrédient singulier à ce qui nous attend, faisant que le régime même de la crise dans les sociétés humaines va changer substantiellement de nature?

Ensuite sur votre livre sur l’énergie. Je ne dis pas que l’énergie n’a aucun rôle, je dis l’inverse. Je dis elle a un rôle. Je dis : elle n’est pas non plus le seul facteur. On va pas faire l’erreur des économistes qui enlève l’énergie des équations en enlevant le reste de l’économie, le capital, le travail et tout le toutim. Si ?

Pour l’instant, selon ce que j’ai pu trouver, on ne peut pas expliquer, ni dans un sens, ni dans l’autre l’oeuf et la poule entre le pétrole et l’économie.

Dans ce cas, on est à l’aube d’un changement potentiel dans ce domaine, vu les besoins d’investissement faramineux pour les prochaines années (d’après l’IEA elle même), et vu que les majors commence à vendre pour payer les dividendes. Mais pour l’instant (je surveille régulièrement) les actions des pétrolières ne baissent pas. Le marché n’a pas encore pricé le pic pétrolier. Si ce que vous dites être vrai, on devrait être fixé dans peu de temps (temps qui se compte en années).

1) Quelles sont les quantités de pétrole disponibles dans les prochaines décennies et combien de temps couvriront-elles les besoins ? Quelle est la réelle incidence d’une restriction de cette disponibilité sur l’économie ? En fonction des réponses à ces questions, l’urgence du changement est plus ou moins grand et le changement plus ou moins radical. Pour ma part, je pense que les analyses produites sur ce blog sont tout à fait cohérentes et reflètent probablement très correctement l’état réel de la production mondiale. Comme je trouve également fort raisonnable le fait de penser que sans pétrole, nous ne produirons plus rien (et en tout cas moins qu’avant la révolution industrielle car nous ne savons plus le faire), je ne suis pas optimiste.

Et la réponse plus longue, c’est que, hors des zones de points chauds (de type Islande), la géothermie offre une densité de puissance ridiculement faible : en gros, de l’ordre de 0,05 W/m² (oui, oui, vous avez bien lu : 50 millièmes de watt par mètre carré de sol). C’est très insuffisant, ne serait-ce que pour chauffer nos bâtiments, et c’est complètement hors des clous pour nos autres usages énergétiques (électricité et/ou transports et/ou usages industriels et/ou agriculture et/ou …)

Good barbecue is a slow process. And I’m not talking about grilling. I’m talking about real BBQ — the "low and slow" smoking of beef, chicken, pork and a whole host of other foods. Walk into any reputable barbecue restaurant and the pitmaster will tell you that to do it right takes time, usually half a day or more. Manning a pit can also be backbreaking work. Between chopping or hauling wood, shoveling coals and moving around large cuts of meat, it can be exhausting. But a little technology can help ease the relentless grind. One example of that is Traeger’s Timberline Series, a pair of wood-fired grills that take a lot of the hassle out of the process.

oui bonne remarque @cf ce n’est pas qu’elle soit non abondante l’énergie du futur (l’énergie renouvelable); c’est plutôt qu’elle réclame une abondance de moyens (donc un EROEI désavantageux) pour la capter et la rendre utilisable (surfaces pour la biomasse, pour les éoliennes, pour les panneaux solaires).

Using his own super power—engineering—Pan integrated a fingerprint scanner near the base, programmed to read his thumbprints, and no one else’s. So, as soon as someone grabs the leather-wrapped handle, the magnets activate, making it impossible for anyone (except maybe Thor himself) to lift the hammer.

La question que je compte poser lors de mon voyage à Thèbes concernera donc d’abord à avoir une réponse certifiée pour anticiper de quelle solution, 1,2,3, viendra la crise, quelle sera sont ampleur, aura-elle un effet cumulatif avec les deux autres, sera-t’elle surmontée.